Je pourrais publier tous les jours des récits de maman sur l’accouchement. Car j’aime ça. Ecouter les mamans raconter la venue au monde de leur bébé.

D’ailleurs, à chaque fois que je suis avec des nouvelles copines, il y a TOUJOURS un moment où on commence à se raconter nos accouchements. C’est dingue quand même!

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Et malheureusement, c’est comme dans d’autres domaines, on n’est pas toutes logées à la même enseigne. Certains accouchements sont merveilleux, d’autres moins.

D’autres encore sont plutôt satisfaisants, mais c’est la suite de couche qui pose problème (je pourrais d’ailleurs en témoigner avec mon premier accouchement, oui, un jour, je vous raconterai tiens!)

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Mais aujourd’hui c’est Emilie qui nous raconte comment le plus beau jour de sa vie s’est transformé en très mauvais rêve…

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J-1 : Aujourd’hui, c’est le jour du terme. Malgré des contractions régulières les jours précédant, rien ne s’est finalement déclenché et tu es toujours dans mon ventre arrondi. Peut-être ai-je peur de cet accouchement ?

Une césarienne avait été d’abord programmée puis annulée. Le gynécologue au vu des derniers contrôles à choisi l’accouchement voie basse.

Mais pourquoi tant de complications ? Qu’est-ce qui cloche ? Le placenta !

Le placenta prævia, un placenta bas inséré, trop près du col.

Les complications possibles ? Une césarienne en urgence, une hémorragie, une transfusion… Le gynécologue m’a tout expliqué.

Mais tout peut aussi très bien se passer.

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Échographie, monitoring, bébé va bien, mais il n’y a plus assez de liquide amniotique, je serai donc déclenchée demain.

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Jour J : contrôles toute la matinée, puis déclenchement en début d’après-midi.

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Je suis installée dans une chambre suite de couches. La même que là où j’ai passé mon séjour pour la naissance de mon aîné. Je dis à mon mari de ne pas oublier l’appareil photo pour aller ensuite en salle de travail. Il me tarde de voir notre bébé…
Rapidement, les contractions apparaissent, très rapprochées, très fortes, toutes les 2 minutes. Au bout d’une heure, j’appelle la sage-femme. Mon col n’a pas bougé. Je suis extrêmement déçue. Elle me conseille d’aller sous la douche chaude pour avoir moins mal. J’y passe un petit moment, ravie d’être soulagée.

Puis je décide de sortir pour tester le ballon. Je me lève et là, je perds une énorme quantité de sang. Mon mari court appeler de l’aide.

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Moi, je pleure, je comprends que je vais avoir une césarienne.

Le personnel arrive. On me demande de m’allonger sur le lit. La gynécologue dit à mon mari que je vais avoir une césarienne en urgence. On m’amène en salle de travail où l’on me pose la sonde urinaire.

Puis je descends au bloc sans mon mari.

Là, l’anesthésiste me pose la rachi-anesthésie. On bloque mes bras, on installe le drap pour que je ne vois rien. Une aide-soignante est là, qui me parle, m’explique ce qu’on me fait, sa présence me fait du bien. On m’explique que je ne verrai mon bébé qu’après contrôle du pédiatre.

À 17h35, je suis incisée, j’ai l’impression que l’on est en train de sortir tous les boyaux de mon ventre, mais je n’ai pas mal. L’aide-soignante me rassure, me dit que c’est normal. 17h41, bébé est là. Je ne le vois pas, j’entends juste son premier petit cri. Une larme coule, je me dis qu’il va bien. L’aide-soignante me dit qu’il est magnifique et qu’on me l’amène très vite. Après le contrôle, je vois enfin mon bébé. Il ressemble à son frère…

La césarienne se termine ensuite, je suis recousue. Je trouve le temps très long.

Je vais ensuite en salle de réveil. Au bout d’un moment, on commence à me transfuser des poches de sang. Je me dis que c’est normal, que cela fait partie des complications.

Le directeur du laboratoire arrive en tenue civile pour porter le plasma. Pendant ce temps, une anesthésiste me parle, se rend compte qu’elle connaissait ma grand-mère paternelle, on discute toutes les deux…

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Le visage de la gynécologue me fait pourtant comprendre qu’il y a un problème.

 

.Elle finit par appeler une autre maternité pour mon transfert.

Je suis en train de faire une hémorragie sévère.

Elle tente d’installer un ballonnet pour la stopper, mais elle me prévient, je vais certainement avoir une ablation des veines.

Là, tout s’effondre autour de moi.

Mon mari et mon bébé sont en chambre.

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Je vais partir à 100km de là. Sans eux.

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Je demande à les voir, la gynécologue est agacée. Je suis une urgence vitale, je dois partir au plus vite.

Très rapidement, tout s’enchaîne, j’embrasse bébé et mari. Je suis installée dans le SMUR. La médecin demande à mon mari d’aller chercher mon portable.

La gynécologue s’agace encore. La médecin me rassure, il faut aller vite mais avoir mon portable me fera du bien lorsque je serai là-bas, je pourrai recevoir des photos, des messages, des appels.

On part. Les 100km sont avalés en 40 minutes. Pendant le trajet, je perds le ballonnet. La médecin et l’infirmière sont vraiment très rassurantes. Arrivée là-bas, je vais au bloc, où le personnel, déjà en place, m’attend.

Je supplie qu’on arrête de toucher mon ventre.

On m’installe le masque. Je m’endors.

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J+1: Je me réveille dans la salle de réveil.

Il fait nuit, il est 1h du matin. Tous les 1/4 d’heure, contrôle de ma tension, de mes yeux. J’ai soif, les infirmières me préparent des compresses d’eau pour me soulager un peu.

Appel de la maternité où mon bébé et mon mari sont restés, trou noir sur la conversation.

On me prévient que mon père et mon beau-père sont là. Je ne comprends pas pourquoi. Je ne comprends pas que ce que j’ai eu est grave. Mon père arrive, trou noir sur la conversation, mais pas sur son visage fermé et stressé.

Le matin, à la toilette, l’aide-soignante me propose un miroir. Je me fais peur, je suis blanche, le visage extrêmement gonflé, les paupières à moitié fermées.

Tout mon corps est gonflé, mes bras sont parsemés de perfusions. Je reste toute la journée en salle de réveil au milieu des mamans césarisées avec leurs bébés.

Je pleure beaucoup, le mien me manque. J’ai l’impression de ne pas avoir accouché.

Le personnel, à l’écoute, me rassure. Je dois me reposer pour être à nouveau transférée. Je tente de dormir dans le brouhaha ambiant.

Je suis toute la journée dans un brouillard incessant entre somnolence et réveil. Je vois les médecins qui viennent me voir, les infirmières, les aide-soignantes qui vérifient mon état. Apparemment, je vais bien.

Après la visite de mon mari, on m’annonce que je vais monter dans une chambre suite de couches pour la nuit, et que si tout va bien, je serai transférée demain dans la matinée. Mon frère et mes parents viennent me voir, je comprends à leur visage que j’ai « une sale tête ». Ils me portent quelques affaires de toilette. Jusque là, mon seul effet personnel était mon portable. Je ne dirai d’ailleurs jamais assez merci à la médecin du SMUR, j’ai pu recevoir des messages, photos et appels de mes proches et de mes amies. Quel réconfort !

Le goûter comme le repas du soir n’arrivent pas à passer, je n’ai pas faim, et même en me forçant je n’y arrive pas. La nuit se passe, ponctuée d’affreuses douleurs au ventre, la reprise du transit après une césarienne.

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J+2 : Au petit matin, les douleurs sont plus fortes, mais l’infirmière de nuit m’a prévenue, pas d’anti-inflammatoires, elle a mis ce qu’il faut dans ma perfusion, donc je supporte. A 9h, l’infirmière de matin arrive, je lui dis que j’ai extrêmement mal, en fait, ma perfusion n’était pas enclenchée. Elle me dit qu’on va venir faire ma toilette et m’enlever drain et sonde urinaire puisque tout va bien. Une collègue arrive pour mon premier lever. Horrible. Le drain me transperce le ventre, j’ai mal à un point précis, là où les points forment une boule à l’intérieur. Je hurle de douleur, mais en même temps, cela me soulage.

Malgré quelques coups de sonnette, la toilette ne sera faite qu’à 13h.

Longue attente allongée dans le lit à ne rien pouvoir faire. La sage-femme m’explique qu’elle fait tout pour que je sois transférée, mais moi, je vois passer la journée. La perspective d’être encore loin de mon bébé me rend extrêmement malheureuse.

La gynécologue qui s’est occupée de moi le soir de mon transfert passe dans ma chambre.

Elle m’explique que j’ai fait une hémorragie sévère. J’ai perdu 2,4 litres de sang.

On m’a fait une anesthésie générale. On m’a transfusé ici aussi. On m’a à nouveau posé un ballonnet qui m’a été retiré hier après-midi. Je vais bien. La venue de l’anesthésiste décidera de mon transfert. L’après-midi, je suis seule dans ma chambre, entre appels à mon mari et visite de la sage-femme désemparée. A 16h, la sonde et le drain sont retirés.

A 17h, je vois arriver les ambulanciers. L’anesthésiste n’est pas passé, mais je pars quand même.

A 18h30, je suis de retour, près de mon bébé et mon mari.

J’ai « raté » ses deux premiers jours de vie.

J’ai désormais toute la vie pour me rattraper.

J+3 : Le lendemain, mon aîné rend visite à son frère.

La vie à 4 peut enfin commencer…

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Epilogue : Un accouchement de rêve, tel qu’on les voit à la télé, à Baby boom, voilà ce à quoi on aspire toutes.

Mais, accoucher, cela peut être une césarienne en urgence et je pense qu’il faut s’y préparer.

Mon gynécologue m’avait prévenue des risques liés au placenta prævia, grâce à cela, j’ai lu des témoignages de césarienne avant mon accouchement et j’ai eu moins de mal à affronter mon accouchement.

Une césarienne reste une cicatrice qui nous marque à vie, que l’on a du mal à toucher au départ.

Puis on s’habitue, on se dit qu’elle nous a permis d’être maman d’un magnifique petit bébé.

Aujourd’hui, deux mois et demi après, je sais que je ne suis pas encore totalement « guérie ». Je suis en carence de fer, calcium, protéine.

Je suis plus fatiguée que pour mon premier accouchement. J’ai beaucoup pleuré en écrivant ce témoignage.

Mais je suis surtout heureuse de profiter des derniers mois avant la rentrée de mon aîné à l’école et la reprise du travail.

Heureuse d’être avec mes deux petits garçons plein de vie.

 

 

 

Merci Emilie pour ton témoignage… Et plein de bonheur à vous 4!

N’hésitez pas à réagir en commentaire, les mamans se livrent énormément en écrivant leur histoire…

D’autres récits de mamans ICI

allomamandodo

13 comments on “Césarienne: Un accouchement de rêve?! (Récit de Maman)”

  1. j’ai beaucoup pleuré en lisant votre témoignage ce que j’ai vécu si difficile que cela fut n’est rien à côté de vous ! je suis heureuse que l’epilogue soit un happy end ! pour ma part j’ai eu un decollement de placenta à 5 mois de grossesse alitée dès ce moment ensuite un rciu mon petit doudou n’a pas pris un gramme pendant un mois il a donc fallu faire un examen pour voir l’activité cérébrale ( moment le plus long de ma vie ) ouf tout allait bien , déclenchement le 05 septembre au matin ( bébé prévu début octobre ) car j’avais 18 de tension ! a 14h dilatée à 1,5 et monito pas bon mon doudou avait le cœur qui ralentissait et cordon enroulé 3 fois donc césa en urgence à 15h15 ! mon adorable marceau est né 2,2kg 46cm ! il ne fixait pas son sucre et n’avait pas le reflexe de succion il est donc parti en neonat pour être ” gaver ” et soigner ! quand à moi la tension ne baissant pas je n’ai pas été transféré avec lui je ne l’ai rejoins que 2 jours après ! toute ma vie je me souviendrais de son regard quand je l’ai rejoins comme si il me disait ” ah te voila maman” et on a pleuré tous les 2 ! aujourd’hui encore 3 ans après mes larmes coulent …même si tout va très bien et dieu merci marceau est un petit garçon adorable et plein de vie il reste néanmoins ce traumatisme de l’accouchement et surtout de ne pas avoir été avec mon petit garçon les 2 premiers jours de sa vie ! je ne compare pas avec votre accouchement qui a été mille fois pire mais nous sommes beaucoup à n’avoir pas vécu l’accouchement comme il se doit ! 3 ans après je ne suis toujours pas prête pour être enceinte de nouveau ….

  2. J’ai moi-même vécue une césarienne (programmée) donc j’ai beaucoup aimé lire ce témoignage. L’impression de ne pas avoir accoucher, la frustration, la séparation avec le bébé, même si moi ce n’était que 2 heures et non 2 jours… Très beau témoignage.

  3. Un témoignage qui relativise celles qui se plaignent de presque rien lol ça me rappelle le mien césarienne en urgence et un bébé atteins d’une maladie génétique que j’ai récupéré après 9 mois donc les deux autres césariennes pour les sœurs ont été difficiles et pourtant tout s’est bien passé mais j’ai soufflé qu’une fois à la maison avec mes puces !!
    C’est vrai que cette première rencontre est parfois dure mais malgré les cicatrices du corps et des fois de l’esprit au premier sourire au premier maman je t’aime on oublie tout ça !! l’important c’est notre belle famille
    Merci Emilie de ce partage avec nous et bonnes vacances avant la rentrée du grand à l’école

  4. J’ai eu les larmes aux yeux en lisant cet article.

    J’ai été déclenché pour cause de cytolyse hépatique asymptomatique à 38 sa. On m’avait prévenu : le produit peut mettre 24 à 48h pour agir.
    En 2h j’avais les premières contractions douloureuses régulières, en 4h, je douillais comme en fin de travail.
    Sauf que le produit qu’ils m’ont inséré pour faire maturer le col n’a rien fait maturer du tout …Et mon tout petit fatiguait à chaque contraction et ses battements cardiaques chutaient dangereusement.
    La césarienne a été sans appel. Moi qui avait fait un super gros travail de respiration pour la prépa à l’accouchement, ça n’a servi à rien …
    Mais une fois sur la table, tout s’est bien passé et j’en suis ravie.

    Cependant, même 8 mois après, il m’est impossible de toucher ou masser cette cicatrice. Je ne suis pas sûre d’y arriver un jour.

    Je vous souhaite en tout cas plein de belles choses à présent !

  5. Tres beau recit.
    J ai aussi fait un placentas preavia a 37+4 SA , a la maison ,j ai eu la peur de ma vie .
    cesa en urgence ,mon fils n avais pas de soucis . 2ans et demi apres je me suis toujours pas remise et je ne suis pas prete a remettre ca .

  6. Très beau témoignage et très dur en même temps. J’ai vécu aussi une césarienne en urgence dilatée a 9 bébé ne pouvait sortir donc bloc froid, bras attachés voile bleu devant les yeux sentir les mains dans son ventre voir une ombre d’une personne appuyant sur votre ventre entre si bébé ne le voir que 2 secondes sans pouvoir le toucher et attendre plus de trois heures en salle de Reveil avec une aide soignante menaçante ” vous ne pourrez voir votre bébé tant que vous ne sentirai pas vos jambes” ( du fait de la péridurale transformé en anesthésie locale) avant d’enfin pouvoir serrer bébé dans ces bras. Un vrai traumatisme.
    Mais en lisant votre article on se sent moins seule on ne nous prépare pas assez a des complications possibles et on ne nous suis pas assez après… Je vais vivre la première Rentree de mon bébé cette année et encore aujourd’hui parler ou penser à cet accouchement est très difficile.
    Je ne compte pour le moment toujours pas avoir d’autres enfants et malheureusement je pense que cela durera tres longtemps …

  7. Quel magnifique témoignage ! Pour ma première grossesse j’ai eu ossi un placenta preavia recouvrant totalement j’ai fait beaucoup d’hémorragie a 3mois de grossesse (le gynécologue n’était même pas sur que bébé survivrai ) j’était allité j’ai du rester allongée césarienne programmée on m’annoncer bébé grand prématurée on m’a tout expliquer a 7mois bébé sera là j’ai enchaîné les rdv a l’hôpital j’ai du prendre mon mal en patience à rester allonger toute seule ça était très long les 7mois sont arriver pas d’hémorragie en vu le repos a permis au placenta de remonter un petit peu mais je doit rester encor allonger jusqu’à 8mois pour que bébé ne soit pas prématuré j’ai tenu bon j’ai suivi les conseil a 8mois bébé étais encor dans mon ventre mon gynécologue me donne le feu vert pour “re vivre” normalement et m’annonce que je pourrai normalement accoucher par voie basse sous réserve au final je suis arrivée à thermes -4 un accouchement de rêve par voie basse 4file bébé de 4,240kg . Ma grossesse a était un “enfer” alor que mon accouchement un pur bonheur comme quoi ! Bon courage a toute les mamans

  8. bravo pour ce témoignage , le déchirement de ne pas avoir son bébé avec soit c est bouleversant!!!
    j ai eu des complications après mon 1er accouchement hémmoragie de la délivrance pas facile de retrouver des forces ensuite!!!
    profiter bien tout les 4 !

  9. Les cumul de mes 2 accouchements ressemble un peu à votre histoire même si j’ai au final eu l’énorme chance de voir mes filles plus rapidement.
    1ère : césarienne programmée car siège. Frustration, manque du lien entre bébé dans le ventre et bébé dans le berceau … Et découverte de ma fille 3 h après sa naissance
    Entre temps GEU un 1er janvier avec belle hémorragie
    6 mois après nouvelle grossesse et accouchement des plus compliques : 18h de travail, une péri fonctionnant qu’à droite, cordon autour du cou donc forceps, déchirure périnée complet compliqué, pas de délivrance donc anesthésié générale pour la délivrance et les points et pour finir hémorragie (850ml). Des suites de couches très difficiles et douloureuses.
    3 mois et demi après, les larmes coulent encore mais je savoure la présence de mes 2 princesses au quotidien !
    J’e n ‘oublierais pas ces accouchements car ils font partie de notre histoire mais je tente de les accepter !
    Bon courage

  10. Merci à toutes pour vos petits mots et témoignages. Dans la reconstruction après cette césarienne, je me fais suivre par une psy et par une amie ostéo. Cela m’aide beaucoup et je vais mieux. Bon courage à toutes celles qui ont des grossesses ou accouchements difficiles.

  11. Je compatis avec cette courageuse maman!! C’étais évidemment un accouchement difficile, l’un des moments forts de sa vie. Je souhaite en tout cas bcp de bonheur et de belles choses à sa petite famille, pour les années à venir 🙂
    Priez pour moi, mon accouchement peut se déclencher à n’importe quel moment… 🙂

  12. 3 bébés et 3 césarienne ici, mais par chance par de scenario si catastrophique… Je sais à quel point c’est difficile à vivre que c’est dur d’entendre les autres parler de leurs accouchements de rêve, ou quand une copine te parle de contractions et fini par te dire “mais non c’est vrai toi ne n’as JAMAIS accouché”… La naissance ma petite dernière en césar programmé à réparé un peu ces traumatismes.

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